Déroulement d’une course
Le principe de la course traditionnelle est simple ; les garçons, vêtus d’une chemise blanche, d’un pantalon noir et du tablier traditionnel doivent parcourir un trajet le plus rapidement possible, sans renverser les objets disposés sur le plateau qu’ils tiennent d’une main, tout en doublant leurs concurrents d’un pas zélé. Toute tentative de détourner le règlement entraîne une disqualification ; il est interdit de porter le plateau à deux mains, d’enduire le plateau d’un liquide poisseux, ou de courir ; les garçons doivent cependant marcher d’un bon pas pour tenter de franchir en premier la ligne d’arrivée.
Des secondes sont retirées au temps effectué en cas de perte de liquide ou de chutes d’objet. Le jour de la Course, les rues sont investies par les habitants venus encourager fièrement leur garçon de café.
La course qui a gagné les cinq continents s’est diversifiée.
Elle se décline selon les coutumes locales et comporte désormais de multiples épreuves. De nombreuses villes l’ont adapté au monde mouvant de la mondialisation ; les serveurs doivent à présent effectuer des sprints sur de courtes distances, ce qui donne l’occasion de voir les verres effectuer des numéros de haute voltige.
Des épreuves de relais ont également vu le jour. Elles valorisent les formations soudées par l’esprit d’équipe qui anime leur établissement.
Devenue plus ludique, la course s’apparente en Argentine et dans les pays d’Amérique du Sud à un parcours du combattant où les serveurs contournent de nombreux obstacles et sautent entre des pneus. Elle convie désormais des amateurs venant se frotter au dur métier du serveur
La course s’est ainsi modernisée et obéit à des logiques de profit ou de valorisation de la culture française.
Elle garde cependant toute son âme. Elle transmet l’atmosphère chaleureuse du café, véritable institution de la vie sociale et rend hommage aux prouesses des serveurs. C’est la fête populaire par excellence qui perpétue le gout de la tradition et de l’élégance.
Caractéristiques de la course des garçons de café
Le principe de la course traditionnelle est simple ; les garçons, vêtus d’une chemise blanche, d’un pantalon noir et du tablier traditionnel doivent parcourir un trajet le plus rapidement possible, sans renverser les objets disposés sur le plateau qu’ils tiennent d’une main, tout en doublant leurs concurrents d’un pas zélé. Toute tentative de détourner le règlement entraîne une disqualification ; il est interdit de porter le plateau à deux mains, d’enduire le plateau d’un liquide poisseux, ou de courir ; les garçons doivent cependant marcher d’un bon pas pour tenter de franchir en premier la ligne d’arrivée.
Des secondes sont retirées au temps effectué en cas de perte de liquide ou de chutes d’objet. Le jour de la Course, les rues sont investies par les habitants venus encourager fièrement leur garçon de café.
La course qui a gagné les cinq continents s’est diversifiée.
Elle se décline selon les coutumes locales et comporte désormais de multiples épreuves. De nombreuses villes l’ont adapté au monde mouvant de la mondialisation ; les serveurs doivent à présent effectuer des sprints sur de courtes distances, ce qui donne l’occasion de voir les verres effectuer des numéros de haute voltige.
Des épreuves de relais ont également vu le jour. Elles valorisent les formations soudées par l’esprit d’équipe qui anime leur établissement.
Devenue plus ludique, la course s’apparente en Argentine et dans les pays d’Amérique du Sud à un parcours du combattant où les serveurs contournent de nombreux obstacles et sautent entre des pneus. Elle convie désormais des amateurs venant se frotter au dur métier du serveur
La course est originellement organisée par des syndicats de cafetiers-restaurateurs soucieux d’entretenir le prestige de la profession. Aujourd’hui on compte de nombreux offices du tourisme à l’origine d’un évènement amenant une foule de consommateurs potentiels. La course permet également de donner une certaine notoriété à la ville organisatrice qui verra son nom mentionné dans les médias.
Alors qu’elle constituait un évènement en elle-même, la course des garçons de café est maintenant fréquemment associée à une série de festivités où elle conserve cependant une place centrale. Ainsi à Nice, elle se déroule pendant le Carnaval, tandis qu’elle figure dans les attractions proposées aux fêtes de Genève.
Dans les grandes villes américaines, c’est un spectacle figurant au programme du Bastille day. Pour les Américains, la course renvoie à l’image traditionnelle de la France. Organisée par les consulats en partenariat avec les cafés français, elle sert de vitrine de la culture française. Les citoyens des grandes métropoles dégustent des produits du terroir français et se promènent dans un marché français reconstitué pour l’occasion.
A Bruxelles, c’est la Charente qui est à l’origine du projet. Elle y trouve l’opportunité de mettre la région en valeur dans le cadre de « Pineau sur rue ». Les spectateurs peuvent savourer des mets produits dans cette région de l’ouest de la France, tandis que le vin qui est posé sur le plateau est mis à l’honneur.
La course s’est ainsi modernisée et obéit à des logiques de profit ou de valorisation de la culture française.
Elle garde cependant toute son âme. Elle transmet l’atmosphère chaleureuse du café, véritable institution de la vie sociale et rend hommage aux prouesses des serveurs. C’est la fête populaire par excellence qui perpétue le gout de la tradition et de l’élégance.
Ce que yoann a demande a benjamin de faire:
Type de course
-championship: The race goes on several steps. Several possibilities:
2 legs: The firsts of the first round are qualified to run the second leg.
Pools: Winners of each pool face the winners of the other pools until the finale. Organizers choose the number of pools, of participants in the pool, and the number of winners in each pool
-traditional: All the waiters rush at the same time. They have to go straight from the starting line to the finishing line. They are not allowed to run. Seconds are taken off for each centiliters spilled. The length of the course is unsettled. It can go from 150 meters to more than one kilometer.
The winner is the one who finish in the first places without spilling too much liquid.
-relay: by team. Waiters have to run on a short distance and, once arrived, to give to their colleague the tray without making it fall. They run in the opposite way and pass on their tray to another member of their team. The first team which has accomplished the necessary number of rounds is declared winner.
-sprint: Waiters have to run on a short distance (no more than 100 meters) Most of the time organizers allow the waiters to spill a part of the tray’s content. The first to arrive is the winner
-time trial: Waiters make the course single handely. They are timed with a stopwatch and the quickest who does not make his tray fall wins.
Sous catégorie
sprint: Waiters have to run on a short distance (no more than 100 meters) Most of the time organizers allow the waiters to spill a part of the tray’s content.
walking: waiters are not allowed to run. Seconds are taken off in case of loss of liquid.
-obstacles:
Jump: small hedges, between tires
Slalom between blocks, chairs
Slippery pavement
Pass under a bar
-skill test:
Change the content of the tray
Add items on the tray
Open a bottle of beer or wine the quickest possible
Memorize the orders: each waiter receive an order, they run to the counter where they take the drinks put it on the tray and finish the race without spilling the tray
Vip corner Competitors have to walk along the bar of the VIP triangle and take on the tray a bottle and put it later on a table
Caractéristiques de la course des garçons de café
Le principe de la course traditionnelle est simple ; les garçons, vêtus d’une chemise blanche, d’un pantalon noir et du tablier traditionnel doivent parcourir un trajet le plus rapidement possible, sans renverser les objets disposés sur le plateau qu’ils tiennent d’une main, tout en doublant leurs concurrents d’un pas zélé. Toute tentative de détourner le règlement entraîne une disqualification ; il est interdit de porter le plateau à deux mains, d’enduire le plateau d’un liquide poisseux, ou de courir ; les garçons doivent cependant marcher d’un bon pas pour tenter de franchir en premier la ligne d’arrivée
Des secondes sont retirées au temps effectué en cas de perte de liquide ou de chutes d’objet. Le jour de la Course, les rues sont investies par les habitants venus encourager fièrement leur garçon de café.
La course qui a gagné les cinq continents s’est diversifiée.
Elle se décline selon les coutumes locales et comporte désormais de multiples épreuves. De nombreuses villes l’ont adapté au monde mouvant de la mondialisation ; les serveurs doivent à présent effectuer des sprints sur de courtes distances, ce qui donne l’occasion de voir les verres effectuer des numéros de haute voltige.
Des épreuves de relais ont également vu le jour. Elles valorisent les formations soudées par l’esprit d’équipe qui anime leur établissement.
Devenue plus ludique, la course s’apparente en Argentine et dans les pays d’Amérique du Sud à un parcours du combattant où les serveurs contournent de nombreux obstacles et sautent entre des pneus. Elle convie désormais des amateurs venant se frotter au dur métier du serveur.
La course est originellement organisée par des syndicats de cafetiers-restaurateurs soucieux d’entretenir le prestige de la profession. Aujourd’hui on compte de nombreux offices du tourisme à l’origine d’un évènement amenant une foule de consommateurs potentiels. La course permet également de donner une certaine notoriété à la ville organisatrice qui verra son nom mentionné dans les médias.
Alors qu’elle constituait un évènement en elle-même, la course des garçons de café est maintenant fréquemment associée à une série de festivités où elle conserve cependant une place centrale. Ainsi à Nice, elle se déroule pendant le Carnaval, tandis qu’elle figure dans les attractions proposées aux fêtes de Genève.
Dans les grandes villes américaines, c’est un spectacle figurant au programme du Bastille day. Pour les Américains, la course renvoie à l’image traditionnelle de la France. Organisée par les consulats en partenariat avec les cafés français, elle sert de vitrine de la culture française. Les citoyens des grandes métropoles dégustent des produits du terroir français et se promènent dans un marché français reconstitué pour l’occasion.
A Bruxelles, c’est la Charente qui est à l’origine du projet. Elle y trouve l’opportunité de mettre la région en valeur dans le cadre de « Pineau sur rue ». Les spectateurs peuvent savourer des mets produits dans cette région de l’ouest de la France, tandis que le vin qui est posé sur le plateau est mis à l’honneur.
La course s’est ainsi modernisée et obéit à des logiques de profit ou de valorisation de la culture française.
Elle garde cependant toute son âme. Elle transmet l’atmosphère chaleureuse du café, véritable institution de la vie sociale et rend hommage aux prouesses des serveurs. C’est la fête populaire par excellence qui perpétue le gout de la tradition et de l’élégance.